Sur LinkedIn, Dalibor Frioux se définit comme plume pour dirigeants, conseiller auprès du Président du Conseil économique, social et environnemental.
Oui mais c’est aussi (surtout ?) un écrivain reconnu qui vient de publier son 3ème roman, qui compte à son actif de nombreux essais et des rapports pour le think tank Terra Nova.
Last but not least, il est membre de La Guilde des Plumes 😊
Quel est son parcours ?
Comment concilier une activité de plume et d’écrivain ?
Et d’ailleurs qu’est-ce qui l’anime en tant qu’auteur ?
🎙 Ce sont quelques unes des questions que lui pose Laurent Jauffret lors de cette interview !
📘 A propos de « Vies électriques », paru en janvier 2024 chez Grasset :
Vies électriques est le roman de deux destins croisés, emportés par la science.
Le jeune Allemand Hans Berger se consacre ainsi à la recherche médicale avec l’idée folle de détecter les ondes d’une mystérieuse « énergie psychique », qui expliquerait les expériences de télépathie qu’il a connues avec sa sœur aînée.[…] au cours des années 1920, dans une Allemagne qui sombre dans le bruit et la fureur, l’obscur chercheur identifie les ondes alpha et devient le père de l’électroencéphalogramme.
Poursuivant les recherches de Berger, le neuropsychiatre juif polonais Zenon Drohocki travaille au Collège de France jusqu’à son arrestation par la Gestapo en 1943. Déporté avec sa femme, il bricole un appareil à électrochocs dans l’hôpital de fortune d’Auschwitz-Monowitz. .[…]
Entre progrès scientifique pour le bien de l’humanité et outils de destruction totalitaire, la frontière est étroite. Hans Berger et Zénon Drohocki font de leurs recherches une question de vie ou de mort, au point d’en perdre de vue les fins et les risques ultimes. Ont-ils été dévorés par une époque elle-même dépassée par ses créations ? Dans le roman de leurs deux vies en miroir, Dalibor Frioux nous emmène dans un voyage vertigineux au cœur de la science prise dans la tourmente de l’Histoire.